CAS CLIENTS
La société S, qui vend du matériel pour l’aménagement de terrasses nous confie début février un dossier contre la société R pour un montant de 5400 € TTC.
Les factures sont échues depuis plus d’un an.
Après envoi d’un premier courrier et des contacts téléphoniques, un accord est trouvé avec la société R pour le paiement en deux fois par chèque au 28 février et 30 mars pour un montant total de 6170 € TTC qui inclus les frais de relance et les pénalités légales.
La somme est reversée intégralement au client dans le courant du mois d’avril une fois le délai de validation des chèques écoulé.
Un organisme C qui organise des salons et autres manifestations nous confie mi-2019 un dossier contre la société N pour un montant de 4300 € TTC.
Les factures sont échues depuis plus de trois ans et par suite d’évolutions internes du client, il n’est pas possible d’obtenir les pièces justificatives (bon de commande et autre).
Le débiteur ne réagit pas et nous indique finalement que nous serons bientôt prescrits.
La chargée de recouvrement fait les recherches nécessaires et retrouve, par différents articles de journaux, profils Facebook et autres, des éléments justificatifs.
Cela nous permet fin 2019 de lancer une injonction de payer qui est validée par le juge.
Un mois après la signification le dossier est soldé intégralement, malheureusement sans les pénalités légales. Le client récupère le principal et tous les frais engagés pour l’injonction de payer.
La société D, spécialisée en sanitaire et chauffage nous confie début juillet 2020 un dossier contre une société Italienne pour des travaux dans un de leurs bureaux en France pour un montant de 4000€ TTC. La facture date de début d’année.
La comptabilité du débiteur est en Italie et notre client n’arrive pas à avoir de contact avec eux.
Après un premier courrier et la recherche du bon interlocuteur nous obtenons le paiement intégral du dossier fin juillet.
Le lycée P nous confie en novembre 2019 une facture à recouvrer contre Madame X à la suite de dégradations commises par un de ses enfants dans l’établissement en juin 2018 pour un montant de 490 €.
Après envoi d’un courrier et prise de contact téléphonique, la personne conteste le montant et refuse de régler.
Comme les travaux ont été réalisés par le personnel du lycée, le coût est difficile à justifier et en plus une autre élève était concernée.
Après plusieurs échanges avec la personne nous arrivons à trouver un terrain d’entente, qui à défaut d’indemniser complètement notre client, réduit sa perte. Nous avons recouvré 200 € en juillet de cet année.
L’école de langues C nous confie, en mars 2021, un dossier contre la société N pour un montant de 2600 € TTC.
La facture de formation est échue depuis presque 5 ans. Il faut agir vite car la date de prescription approche.
Le collaborateur CATCH envoie un courrier par mail et par voie postale, puis prend contact dans la foulée par téléphone avec le service comptabilité de la société N.
La facture n’étant pas enregistrée chez le débiteur, la chargée de recouvrement envoie le duplicata de la facture et obtient sous 5 jours un virement de 3900€ TTC, qui inclut les frais de relance et les pénalités légales.
La somme est reversée intégralement au client en avril 2021.